Jean Druon revient sur les processus, soi-disant inéluctables, de privatisation généralisée imposée par Bruxelles, sous l’impulsion des « fabriques à idéologie » (Think tank) anglo-saxonnes. La libéralisation du marché, sous la forme de la privatisation des biens publics était censée être la solution miracle à la crise pétrolière des années 70. Le remplacement du politique (orientation humaine) par la main invisible du marché libre allait donner aux Européens : argent, choix, emploi, croissance, bonheur, confort...